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Lundi 2 Août 2010 - Curitiba

Départ ce matin dans un froid hivernal à la recherche de l'école française.

Eglise de la praça Tiradentes

Nous partons à l'ouest de la ville et nous arrivons à l'Alliance Française après 1/2 heure de marche, mais pas d'école en vue.

Une française nous renseigne mais ne semble pas en savoir beaucoup plus sur l'établissement. Elle nous donne quand même l'adresse : l'école se trouve dans le quartier de Cristo Rei à l'Est de la ville ( à l'endroit où l'on s'est paumé la veille).

Nous repartons à pied, comme d'hab, à l'opposé de la ville. Après plus d'une heure de marche et avec un peu de bol, nous trouvons la fameuse école qui est jumelée avec l'école franciscaine BOM JESUS (ce nom va rappeler quelque chose à certains guyanais qui ont connu la galère du Larivot). Nous sommes très surpris  par le complexe : grand portail avec gardien, badges, tripodes pour l'entrée, gymnase, piscine, terrains, matériel à gogo.... bref comme en Guyane quoi !

Nous sommes accueillis par une charmante brésilienne, la seule parlant français, mais qui ne peut pas beaucoup nous aider, le côté français étant encore en vacances.

Nous revenons en taxi et nous allons nous mettre à l'abris du froid et maintenant de la pluie au Shopping Mueller.

Le soir, malgré le temps, nous sortons à la recherche d'un resto sympa mais beaucoup de choses sont fermées et nous finissons dans un tripot (Le Cyclus). Nous commandons quand même à manger (picanha) sous l'oeil très inquiet de Lionel vu l'état du tripot. Un picanha pour deux à 19 reais ( 9€) c'est sûr que ça fait réfléchir !!! C'est pas terrible mais bon il faut bien manger !!! Nous allons nous mettre au chaud en attendant de voir comment vont réagir nos estomacs à ce festin...

Parc devant l'hôtel

Impression de Lionel : Il caille dans ce pays. Il fait vraiment trop froid et avec leur putain de douche à pommeau électrique, l'eau est glacée. Tous les matins j'ai les dents qui tombent dans le lavabo à cause de l'eau du robinet. Mais la ville est sympa !!!

Impression d'Anne : Je me verrais bien ici moi, mais c'est vrai qu'il caille !